Action Rentree webAction « Rentrée 2015-2016 »

OUI, l'éducation pour tous doit devenir une réalité !
En 2015, 124 millions d'enfants et d'adolescents ne sont toujours pas scolarisés. Depuis 2007, la Fondation Bridderlech Deelen et son partenaire au Rwanda, le Diocèse de Gikongoro, s'engagent en faveur d'une éducation primaire de qualité pour toutes et tous. Nous vous lançons un défi : aidez-nous à couvrir la totalité du budget d'ici le 15 novembre 2015. Les élèves de Gihemvu, de Musebeya et Gisanze ainsi que leur personnel enseignant vous remercient d'avance et vous adressent leur plus beau sourire.

 

 

OUI, l'éducation pour tous doit devenir une réalité !

Action « Rentrée 2015-2016 »

Avide dapprendre124 millions d'enfants et d'adolescents ne sont toujours pas scolarisés. C'est l'équivalent de la totalité des habitants de l'Italie et du Royaume-Uni !

« Dix cahiers, sept classeurs, une nouvelle trousse, des stylos... » Déjà pendant l'été les parents au Luxembourg s'occupent du matériel scolaire de leur progéniture et préparent la prochaine rentrée des classes. Dès la fin de l'année scolaire, à la mi-juillet, ils se retrouvent avec des listes de livres et de matériel scolaire que les enfants leur ramènent de l'école.
Au Rwanda, au Brésil, en Inde... partout au monde, tout comme au Luxembourg, les parents se soucient de l'éducation de leurs enfants. Cependant tous n'ont pas les mêmes possibilités ni les mêmes moyens pour offrir une éducation de qualité à leur descendance.

 

2015 – année particulièrement significative
2015 – c'est l'Année Européenne pour le Développement. Le développement, pour vous, c'est quoi ? Selon le Larousse, le développement est le « fait de grandir, de croître, de se développer » ou « le fait pour quelque chose de progresser, de s'accroître, de prendre de l'importance » - « essor, expansion ». Les enfants aussi se développent, grandissent – les enfants, curieux par nature, sont avides d'apprendre, de progresser. Tous les enfants ont le droit d'aller à l'école et de recevoir une éducation de qualité ! Malheureusement ce n'est pas encore le cas pour tous les garçons et filles partout au monde. Il ne peut y avoir développement sans éducation ! Voilà pourquoi la Fondation Bridderlech Deelen a choisi l'éducation au sens large comme une des principales thématiques des projets qu'elle soutient, ensemble avec ses partenaires locaux sur le terrain.

2015 est également l'année où les huit Objectifs du Millénaire (http://www.un.org/fr/millenniumgoals/) pour le développement, fixés en 2000, arrivent à échéance. C'est en septembre 2015 que la communauté internationale décidera d'un nouveau cadre mondial destiné à mettre fin à toute forme de pauvreté, de discriminations et d'inégalités en définissant 17 nouveaux objectifs du développement durable (ODD). Des progrès considérables ont été enregistrés pour atteindre la réalisation des OMD, néanmoins les OMD n'ont pas été atteints complètement.
Il y a du pain sur la planche : le programme des 17 nouveaux objectifs du développement durable (ODD) est ambitieux, mais ne baissons pas le bras ! L'ODD numéro 4 est destiné à l'éducation : « Veiller à ce que tous puissent suivre une éducation de qualité dans des conditions d'équité et promouvoir les opportunités d'apprentissage tout au long de la vie. »

Selon l'Institut de statistique de l'UNESCO (ISU), les données pour l'année scolaire qui s'est achevée en 2013 montrent que 124 millions d'enfants et de jeunes adolescents, d'un âge compris entre 6 et 15 ans, ne sont jamais allés à l'école ou l'ont abandonnée. Le nombre global d'enfants en âge de fréquenter l'école primaire non scolarisés s'élève actuellement à environ 59 millions. Ce chiffre nous rappelle que malheureusement, la communauté internationale n'a pas tenu sa promesse initiale d'offrir un enseignement primaire à tous les enfants d'ici à 2015 (Objectif du Millénaire Numéro 2).

Quels sont les principaux facteurs de déscolarisation ?
Afin de rendre possible une éducation primaire de qualité pour tous, point besoin de soulever qu'il faut construire des écoles, surtout dans les milieux ruraux des pays en développement où le nombre d'établissements scolaires est largement insuffisant. Outre le bâtiment même de l'école, il y a toute une série d'autres éléments indispensables pour garantir l'accès à une éducation de qualité. Dans ces pays, un personnel enseignant formé de façon adéquate et payé correctement fait cruellement défaut. Le matériel scolaire et pédagogique tout comme le mobilier scolaire sont déficients. Des conditions sanitaires déplorables comme l'absence de toilettes et le manque d'eau compliquent la fréquentation scolaire. Les classes surchargées ne facilitent pas un enseignement de qualité.

La pauvreté reste un énorme obstacle : qui paie les chaussures et l'uniforme, obligatoires pour avoir accès à l'école ? Qui finance les livres, cahiers et crayons ? Qui prend en charge l'inscription aux cours ? En plus, « ventre affamé n'a point d'oreilles » : celui qui a faim a des difficultés à se concentrer sur ses études. Outre la malnutrition, certains problèmes de santé ou un handicap limitent la fréquentation d'une école pour de nombreux enfants à travers le monde. Les distances à parcourir pour atteindre l'école la plus proche, le manque de moyens de transport sont d'autres obstacles courants qui compliquent la vie de nombreux écoliers dans les pays en développement. Les situations d'urgence dans les pays en guerre et dans les régions secouées par des catastrophes naturelles empêchent une scolarisation régulière.

Enfants MusebeyaEt les filles ?
La situation des filles est encore plus difficile : souvent obligées à garder leurs petits frères et sœurs et à participer aux tâches ménagères, elles ne peuvent pas se rendre à l'école. Des mariages et grossesses précoces les empêchent de continuer leurs études. Dans certains pays, l'accès à l'éducation leur est même formellement interdit. Lors de l'époque des récoltes, bon nombre de filles et garçons abandonnent les cours pour venir en aide à leurs parents sur les champs.

De nombreuses ONG luxembourgeoises se mobilisent pour combattre ces difficultés.
Qu'ont fait la Fondation Bridderlech Deelen et son partenaire au Rwanda, le Diocèse de Gikongoro, pour faciliter l'accès à l'éducation à plus de 5.000 enfants au Rwanda ?
De 2007 à 2014, 44 salles de classe et 3 bureaux de direction ont été construits ou rénovés, 24 latrines ont été bâties de même qu'une salle polyvalente et un logement pour enseignants. 3 écoles ont été entièrement équipées et 4 canalisations des eaux pluviales ont été mises en place. 110 enseignants sont sur place pour donner cours aux quelque 5.000 élèves. Les écoles de ce diocèse sont réputées pour la bonne qualité de leur enseignement.

En 2015 la construction de latrines à l'école de Gihemvu est en cours. De même, les 13 salles de classe et le bureau du directeur de l'école primaire de Musebeya seront équipés d'ici fin 2015. A Gisanze, 6 salles de classe et la canalisation seront reconstruites au cours de cette même année.

Sourires Musebeya

Nous vous lançons un défi : aidez-nous à couvrir la totalité du budget d'ici le 15 novembre 2015! Les élèves de Gihemvu, de Musebeya et Gisanze ainsi que leur personnel enseignant vous remercient d'avance et vous adressent leur plus beau sourire.

 

90 € : Construction d'un m2 d'une salle de classe

25 € : Un banc d’élève

En 2015, le budget total du projet s’élève à 100.846,65 € dont Bridderlech Deelen nécessite 20.169,33 € de fonds propres.  Le projet est cofinancé à 80% par le Ministère de la Coopération.

 

 

 


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